Envoyezune lettre recommandĂ©e avec avis de rĂ©ception pour rĂ©clamer les piĂšces manquantes. Vous prĂ©cisez que si votre demande n'Ă©tait pas satisfaite dans les 15 jours Ă  la rĂ©ception de votre lettre, vous saisirez le BĂątonnier de l'Ordre des avocats dont dĂ©pend votre avocat. Vous garderez une copie de votre lettre. LUFC-Que Choisir n'a pas les mĂȘmes chiffres et parle de "plus de 400.000 vĂ©hicules concernĂ©s", et d'un dĂ©faut qui a "Ă©galement Ă©tĂ© identifiĂ© dans d'autres pays europĂ©ens". Un groupe LUFC Que Choisir en CĂŽte-d'Or a quarante ans ! L'association au service des consommateurs, est devenue un interlocuteur incontournable, en particulier grĂące Ă  ses UFCQue Choisir : spĂ©cial Banques Écouter. Écouter (14min) Facebook. Twitter. Sms. Mail Deux incendies de forĂȘt en cours ce vendredi aprĂšs-midi en CĂŽte-d'Or . France Bleu Bourgogne; 14: Dansle tourisme, le calme n'est que relatif et ne s'installe pas dans la durĂ©e. Fin mars 2020, l'UFC-Que Choisir optait pour une position de consensus dans le cadre de l'ordonnance. 4 mois plus LescĂ©nario (1), unique pour les onze agences immobiliĂšres, Ă©tait le suivant : une personne se prĂ©sente, affirmant vouloir aider un jeune membre de sa famille dans sa recherche d'appartement - un hSEm. L’UFC-Que Choisir s’alarme des consĂ©quences consumĂ©ristes d’une telle rĂ©forme sur le marchĂ© de l’Internet a indiquĂ© l’association dans son communiquĂ© de presse. Elle dĂ©plore des bricolages gouvernementaux visant Ă  financer la crĂ©ation qui, d’une part, font peser de nouvelles charges sur le consommateur, et d’autre part, risquent de dĂ©stabiliser le marchĂ© de l’internet haut dĂ©bit français, qui est un des plus compĂ©titifs du monde car le moins cher et l’un des plus innovants. Il faut le rappeler le marchĂ© du triple play s’est construit autour d’un compromis. Les FAI bĂ©nĂ©ficient d’une TVA Ă  5,5% sur la moitiĂ© du prix des forfaits parce qu’ils ont acceptĂ© en Ă©change de contribuer au COSIP le compte de soutien Ă  l’industrie des programmes audiovisuels et autres sociĂ©tĂ©s de gestion collective SACEM, SACD, SCAM, etc
. Il s’agissait, d’une part, de rendre l’opĂ©ration neutre pour les FAI et d’autre part, d’éviter un surenchĂ©rissement de l’accĂšs Ă  internet. Mais, appliquer une TVA Ă  5,5% c’est considĂ©rer les FAI comme des diffuseurs. Or, tous les consommateurs n’utilisent pas leur connexion internet pour regarder la tĂ©lĂ©vision car ce n’est pas, bien sĂ»r, l’usage premier de cette technologie. Une vĂ©ritable inflation des prix de l’Internet La remise en cause de ce calcul risque d’aboutir, selon l’association Ă  une vĂ©ritable inflation des prix de l’Internet. Loin de se limiter Ă  2 ou 3 euros supplĂ©mentaires sur la facture des consommateurs l’impact direct d’une TVA Ă  19,6% sur l’ensemble du forfait, ce rĂ©tropĂ©dalage risque de bouleverser l’équilibre du marchĂ©. En effet, la compĂ©titivitĂ© prix de l’adsl en France notamment vis-Ă -vis de l’Europe tient au prix de 30 euros,imposĂ© par Free, qui discipline le marchĂ©. RĂ©percuter la hausse de la TVA aboutit inĂ©vitablement Ă  faire sauter le "verrou" des 30 euros et va donc ouvrir la voie Ă  de nouvelles stratĂ©gies de prix. Non seulement les acteurs risquent de rĂ©percuter diffĂ©remment la TVA sur leur abonnement, mais certains pourraient saisir cette opportunitĂ© pour augmenter leurs tarifs, en rĂ©percutant notamment dĂ©sormais dans le prix consommateur les diffĂ©rents prĂ©lĂšvements visant Ă  financer l’industrie culturelle, et tirer plus de revenus de l’adsl. Une explosion du marchĂ© rejoignant le modĂšle du mobile oĂč la France est parmi les pays les plus chers d’Europe A mesure que les prix se diffĂ©rencieront, s’ouvre la perspective d’offres diversifiĂ©es, hyper-segmentĂ©es et donc incomparables, permettant de nouvelles augmentations de prix. Loin d’ĂȘtre nouvelle en matiĂšre de communications Ă©lectroniques, cette stratĂ©gie est celle du marchĂ© mobile oĂč la France est parmi les pays les plus chers d’Europe. Une telle explosion du marchĂ© est doublement Ă  contresens de l’histoire numĂ©rique. A l’heure oĂč le gouvernement parle d’un service social de l’Internet, comment admettre un tel renchĂ©rissement de son accĂšs ? Par ailleurs, c’est quand mĂȘme un comble de faire du consommateur cybernĂ©tique le pompier d’une Ă©conomie dĂ©passĂ©e puisqu’il subventionnera, encore et toujours, des secteurs en dĂ©clin comme la vieille industrie de la culture qui refuse de s’adapter Ă  la rĂ©volution numĂ©rique au mĂ©pris de son public. Au vu des lourdes consĂ©quences qu’elle pourrait avoir, l’UFC-Que Choisir demande donc que la rĂ©forme de la TVA sur le triple play fasse l’objet d’une consultation publique des acteurs intĂ©ressĂ©s et au minimum des autoritĂ©s de rĂ©gulation avant toute dĂ©cision dĂ©finitive. Cet article a Ă©tĂ© repris sur le site Univers FreeBox Les copinages de l’ElysĂ©e auront finalement eu raison du dĂ©veloppement de la concurrence dans le mobile. C’est le Figaro qui le rĂ©vĂšle, le plan numĂ©rique, que Nicolas Sarkozy prĂ©sentera le 20 octobre prochain, devrait annoncer le partage de la derniĂšre licence 3G entre les 3 acteurs dĂ©jĂ  prĂ©sents SFR, Bouygues et Orange. MĂȘme si des modifications peuvent ĂȘtre apportĂ©es jusqu’au dernier moment, un proche du dossier affirme que la 4e licence c’est Ă  98 % enterrĂ©e». Alors que tous, de l’ARCEP Ă  l’UFC Que choisir en passant mĂȘme par certains ministres du gouvernement, se sont prononcĂ©s pour l’arrivĂ©e d’un nouvel entrant dans le secteur du mobile, Nicolas Sarkozy aura donc privilĂ©giĂ© ses amis, et en particulier Martin Bouygues, au dĂ©triment du pouvoir d’achat des français. Free avait en effet annoncĂ© qu’il souhaitait faire Ă©conomiser 1000€ par an et par foyer disposant de 3 abonnements au mobile. Et on pouvait faire confiance Ă  Free pour faire baisser les prix dans le mobile comme il l’a dĂ©jĂ  fait dans l’ADSL. Licence mobile ou comment tuer un nouvel entrant Seule consolation, les frĂ©quences en or », libĂ©rĂ©es par l’arrĂȘt de la tĂ©lĂ©vision analogique, permettraient Ă  un nouvel opĂ©rateur de rentrer sur ce marchĂ© Ă  partir de 2012. Mais cela se fera au prix fort entre 1,5 et 3 milliards d’euros, contre 619 millions d’euros pour une licence 3G. Certes ces frĂ©quences permettent une trĂšs bonne propagation des ondes et donc nĂ©cessitent un rĂ©seau moins coĂ»teux, mais Ă  ce tarif, l’arrivĂ©e d’un nouvel entrant risque bien d’entre compromise. D’ici lĂ , les opĂ©rateurs mobile actuels, qui pratiquent les tarifs parmi les plus Ă©levĂ©s d’Europe, pourront tranquillement continuer Ă  tondre les français. Cet article a Ă©tĂ© repris sur le site Univers FreeBox NSABATHIER publiĂ© le 20 mai 2021 Ă  10h27. L’UFC-Que Choisir a dĂ©noncĂ© ce jeudi une "explosion des factures" d’électricitĂ© et demandĂ© un moratoire sur le projet de restructuration d’EDF, dont l’association craint qu’il n’entraĂźne de nouvelles hausses tarifaires. Selon les calculs de l’UFC-Que Choisir, le tarif rĂ©glementĂ© de vente TRV de l’électricitĂ© a connu une hausse de prĂšs de 50% en dix ans."Un mĂ©nage moyen chauffĂ© Ă  l’électricitĂ© au TRV aura vu passer sa facture d’électricitĂ© de euros Ă  euros entre 2010 et 2020", estime l’association de dĂ©fense des ce ne sont pas seulement la fiscalitĂ© ou la hausse des coĂ»ts de transport et de distribution qui sont Ă  blĂąmer."C’est l’organisation mĂȘme du marchĂ© de l’électricitĂ© qui est responsable de cette augmentation", juge l’UFC-Que cite notamment le mĂ©canisme par lequel EDF est contraint de vendre une partie de son Ă©lectricitĂ© nuclĂ©aire Ă  ses concurrents, baptisĂ© Arenh "accĂšs rĂ©gulĂ© Ă  l’énergie nuclĂ©aire historique".Ce mĂ©canisme, trĂšs critiquĂ© par EDF qui est contraint de vendre son Ă©lectricitĂ© Ă  bas prix, est plafonnĂ©. Il reprĂ©sente un petit tiers de la production d’EDF."Le rationnement de la quantitĂ© d’électricitĂ© ainsi disponible a poussĂ© les prix tant du TRV que des offres de marchĂ© Ă  croĂźtre artificiellement, et frappĂ© trĂšs concrĂštement les consommateurs", estime l’ est direct que ce soit pour les consommateurs ayant recours aux fournisseurs alternatifs qui augmentent leurs tarifs car ils ne peuvent pas acheter assez d’électricitĂ© nuclĂ©aire bon marchĂ© que pour les clients d’EDF au tarif rĂ©glementĂ© dont le mode de calcul est conçu pour n’ĂȘtre pas trop compĂ©titif face aux alternatifs.L’UFC-Que Choisir s’inquiĂšte des nĂ©gociations actuelles sur l’avenir d’EDF, dont la meilleure rĂ©munĂ©ration du nuclĂ©aire est justement l’un des craint de "fortes hausses tarifaires" sur l’accĂšs au nuclĂ©aire, qui pourrait devoir supporter l’inflation des coĂ»ts de l’EPR de Flamanville Manche, et demande un "moratoire" sur les discussions en rĂ©clame "la mise en place d’un dĂ©bat public sur le devenir de cette rĂ©gulation, sur la base d’une transparence sur les coĂ»ts rĂ©ellement supportĂ©s par EDF".En attendant, elle demande un "dĂ©plafonnement immĂ©diat des volumes d’Arenh accessibles par les fournisseurs alternatifs, pour mettre un coup d’arrĂȘt Ă  la spirale inflationniste actuelle". A lire aussi Cette semaine, 3 cas de factures exorbitantes d’abonnĂ©s Ă  l’Internet mobile d’Orange ont Ă©tĂ© rendus publics. Mardi c’est un mĂ©decin a reçu une facture de plus de 159 000 euros pour 1 mois de consommation. Il disposait d’un forfait annoncĂ© comme "illimitĂ©" par Orange L’UFC-Que choisir demande donc que le terme IllimitĂ© » ne soit plus utilisĂ© par les opĂ©rateurs puisque la quantitĂ© de donnĂ©es tĂ©lĂ©chargĂ©e n’est pas illimitĂ©es. Les 3 cas de cette semaine illustrent Ă  quel point le consommateur est induit en erreur par les termes utilisĂ©s pour vendre ce type de prestations. » estime l’association de consommateurs. Dans un communiquĂ©, l’UFC Que Choisir explique qu’elle avait dĂ©jĂ  mis en garde les opĂ©rateurs Ă  ce sujet suite Ă  plusieurs dĂ©rapages qui concernaient les clĂ©s 3G mais aussi les terminaux tĂ©lĂ©phoniques. Les opĂ©rateurs avaient alors jurĂ© que cela ne se reproduirait plus et que des mĂ©canismes d’alerte seraient mis en place. Nous pouvons voir, aujourd’hui, ce qu’il en est de leurs promesses. Cette dĂ©faillance est d’autant plus gĂȘnante que, depuis ces rĂ©cents incidents, de nombreux tĂ©moignages nous remontent de consommateurs qui ont eu le mĂȘme type de problĂšmes. Parce que les montants Ă©taient moindres 10 Ă  30 euros et parce que les opĂ©rateurs arguaient d’une mauvaise utilisation de cet outil, ces consommateurs ont payĂ©. » Que choisir estime Ă©galement que le terme Internet » et usurpĂ© Il en va de mĂȘme pour internet. Cet outil s’est dĂ©veloppĂ© sur le principe d’un accĂšs universel, or les opĂ©rateurs vendent des forfaits qui ne comprennent pas l’accĂšs Ă  ces services, parce qu’ils sont soit interdits peer to peer, newsgroupes, tĂ©lĂ©phonie IP soit parce que, compte tenu de la quantitĂ© de donnĂ©es nĂ©cessaires, ils donnent lieu Ă  des paiements supplĂ©mentaires utilisation de mĂ©dias audio-video via tĂ©lĂ©chargement, streaming et autres tĂ©lĂ©visions de rattrapage ou Ă©changes de photographies, etc.. » Par consĂ©quent peut-on vraiment prĂ©tendre vendre de l’internet lorsqu’il s’agit de prestations assorties d’autant d’impossibilitĂ©s ? LĂ  aussi la dĂ©nomination internet » est totalement hors de propos. Internet est un ensemble d’usages qu’il est de facto impossible d’utiliser avec les connexions 3G des clĂ©s USB et des tĂ©lĂ©phones mobiles. Manifestement l’utilisation des termes IllimitĂ© » et Internet » induit les consommateurs en erreur. Par consĂ©quent, l’UFC-Que Choisir demande Ă  ce que les opĂ©rateurs n’utilisent plus les termes Internet » et IllimitĂ© » pour vendre des prestations qui ne sont finalement que l’accĂšs en ligne Ă  des services spĂ©cifiques et de maniĂšre limitĂ©e ! » conclut l’association Cet article a Ă©tĂ© repris sur le site Univers FreeBox AprĂšs le court gel tarifaire des prix du gaz, un nouveau coup de massue injustifiĂ© ! s'indigne l'UFC-Que Choisir, devant les prĂ©visions de hausse de 5% des tarifs du gaz au 1er avril. AprĂšs la hausse de 15% l’an dernier, cette augmentation ne saurait ĂȘtre admise en raison de l’inadĂ©quation entre la formule tarifaire, pourtant rĂ©cemment rĂ©visĂ©e, et la rĂ©alitĂ© Ă©conomique, estime l'association de consommateurs. D'un point de vue Ă©conomique, le cours du gaz sur les marchĂ©s de gros a chutĂ© ces derniĂšres annĂ©es - 30 % entre novembre 2008 et septembre 2010. Or, GDF-Suez s'approvisionne en partie sur ces marchĂ©s et a renĂ©gociĂ© ses contrats d'approvisionnement pour qu'ils ne soient plus entiĂšrement indexĂ©s sur les produits pĂ©troliers. Mais le consommateur continue de payer son gaz au prix fort, selon une formule tarifaire toujours obsolĂšte malgrĂ© sa rĂ©cente rĂ©vision, puisqu’elle ne tient pas suffisamment compte de cette nouvelle donne, poursuit l'UFC-Que Choisir. BasĂ©e sur une formule dĂ©passĂ©e, cette augmentation serait en outre trĂšs lourde de consĂ©quences pour le budget des mĂ©nages l'augmentation de 15% de l’an dernier avait renchĂ©ri de 150 euros la facture des 7 millions de mĂ©nages chauffĂ©s au gaz. Ce serait 50 euros supplĂ©mentaires si l'Etat ne s'oppose pas Ă  cette nouvelle hausse. L’UFC-Que Choisir en appelle aussi Ă  l’Etat qui fixe toujours les barĂšmes des tarifs rĂ©glementĂ©s, mĂȘme s’il essaie de s’abriter derriĂšre la Commission de RĂ©gulation de l'Energie pour prendre les dĂ©cisions d’augmentation tarifaire. A lui, dans un systĂšme concurrentiel dĂ©faillant, d'assurer "un juste prix en s'opposant, par arrĂȘtĂ©, Ă  l’augmentation injustifiĂ©e demandĂ©e par GDF-Suez et ce, tant que ne sera pas en vigueur une formule tarifaire parfaitement adaptĂ©e aux rĂ©alitĂ©s des conditions d’approvisionnement". Ajouter un commentaire Suivez-nous Inscription Ă  la Newsletter

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